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Au sein d’une chorale, vous pouvez assouvir et partager facilement votre passion pour le chant, sans déranger vos voisins, et sans faire gonfler votre facture d’eau pour cause de concert subaquatique dans votre douche où la reverb est quand même pas mal du tout.
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Pour faire partie d’une chorale, vous n’avez pas besoin d’être bon chanteur(-teuse) ! Vous n’avez d’ailleurs pas besoin d’être mauvais non plus hein !!!
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On peut être choriste sans savoir lire la musique, une bonne paire d’oreilles suffit, propre de préférence, et accompagnée d’une paire d’yeux pour suivre le chef et ses camarades.
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Faire partie d’un groupe vous permet de vous faire de nouveaux amis qui ont au moins un centre d’intérêt commun avec vous. Vous pouvez aussi vous y faire des ennemis (surtout si vous n’êtes pas de sexe masculin) si vous chantez trop bien, trop fort, pas assez, trop juste, … (rayez la mention inutile)
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Monter sur scène est bien moins flippant quand on est bien entouré. Quoi de mieux qu’une bonne 50aine de personne pour se sentir à l’aise ?
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Si avez du temps et de la volonté, vous pourrez vivre des moments uniques en participant à des projets fous en compagnie de plein d’autres fonctionnaires, étudiants, retraités, … Et oui! Il en faut du temps pour participer à tout ça.
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Si vous êtes un homme, il y aura toujours plus de camarades du sexe opposé autour de vous ! Et comme le choriste masculin est une denrée rare, vous serez chouchouté, essentiellement par le chef d’accord, mais c’est déjà ça non ?
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Si vous êtes une femme, vous aurez toujours plein de copines avec qui vous crêper le chignon (cf point 4)
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Dans une chorale on ne chante pas que ce que l’on aime, mais en général, on aime ce que l’on chante ! On y découvre des choses insoupçonnables ! Ah oui je vous assure que sinon je n’aurais jamais chanté de Richard Gotainer de mon plein gré, et pourtant qu’est ce que c’était bon !
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Mais d’abord et avant tout, faire partie d’un groupe vocal, d’une chorale, d’un ensemble, (…) c’est apprendre ce que c’est d’être important mais pas indispensable. Et oui, c’est ça la solidarité des choristes, (à partir de maintenant, on se dit « tu »):
- quand tu te trompes, il y a toujours un(e) camarade pour te couvrir,
- quand tu ne trouves pas ta note, il y a toujours un(e) voisin(e) pour te la donner,
- quand tu n’as pas envie de venir, il y a toujours quelqu’un pour te motiver,
- quand tu n’est pas là, il y a toujours quelqu’un pour te remplacer,
- quand tu es… quand tu es... quand tu es a bout d'exemple, il y a toujours un choriste pour en ajouter en commentaire ! À vous de jouer...
Et pour vous c’est quoi de plus que tout ça ? Votre avis nous intéresse ! Laissez nous vos bonnes raisons en commentaire.